On vous explique tout

Nous, on a découvert les bienfaits de l’huile d’onagre pendant nos galères de fertilité – ainsi que le monde jusqu’alors inconnu de la glaire cervicale. Quel rapport entre les deux nous demanderez-vous ? Eh bah l’huile d’onagre, riche en acides gras essentiels, améliore vachement la qualité de la glaire cervicale. Et grosso modo, plus la qualité de la glaire cervicale est bonne, plus on a de chances de tomber enceinte (ce n’est évidemment pas le seul facteur qui détermine la conception, mais il y participe). En période fertile, la glaire cervicale est censée devenir fluide, transparente et élastique (genre comme du blanc d’oeuf), et faciliter le déplacement des spermatozoïdes. Elle permet aussi de filtrer les spermatozoïdes moins mobiles ou défectueux (c’est Gandalf) et de créer un environnement favorable pour leur permettre de survivre jusqu’à cinq jours dans les cryptes du col de l’utérus. Disons qu’une bonne glaire cervicale ne garantit pas forcément une grossesse (parce qu’encore une fois, plein d’autres facteurs entrent en jeu), mais qu’une glaire cervicale de mauvaise qualité empêche certainement de tomber enceinte.

Et vous l’aurez deviné, on n’est malheureusement pas toutes égales face à la qualité de nos glaires cervicales, et certaines d’entre nous ont donc besoin d’un petit coup de pouce pour l’améliorer. C’est pour ça que toutes les deux (on est dans la mauvaise team), on s’est tournées vers le complément Onagre du laboratoire Hollis, qui est parfait pour ça… mais pas que. #DéformationProfessionnelle.

Il permet aussi, entre autres, de réguler les cycles menstruels trop courts, trop longs ou irréguliers, de réduire l’inflammation souvent responsable de certaines douleurs du syndrôme pré-menstruel et de divers soucis de conception (un terrain trop inflammatoire empêche la nidation de l’embryon – c’est le principe du stérilet en cuivre), d’apaiser d’autres désagréments du SPM (seins tendus, irritabilité, douleurs, etc), d’accompagner les changements hormonaux liés à la périménopause et à la ménopause, d’hydrater la peau et les muqueuses (surtout en période de sécheresse vaginale ou cutanée), et pour couronner le tout, la prise d’huile d’onagre régulière améliore considérablement la qualité et l’élasticité de la peau – elle nourrit notamment les peaux sèches et soulage les peaux enflammées et/ou sensibles. Tout bénef’ donc.